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Auteur : Hervé LE GOFF
Titre : Un jardin si ordinaire, 365 préludes et fugues
Éditeur : Éditions A l’ombre des mots, collection intériorité, 2016
Dim. 15 x 21
Etat neuf
281 pages
Bien connu pour ses ouvrages et articles historiques (son livre consacré à la Ligue en Bretagne, publié aux Presses universitaires de Rennes en 2010 fait référence), Hervé Le Goff s’est également attaché à pratiquer une écriture plus personnelle.
Avec « Un jardin si ordinaire », l’auteur se livre ici à une écriture intime et introspective. Son discours intérieur se double d’une véritable gageure : saisir, chaque jour d’une année, moins les événements de sa vie que les instantanés et les sentiments fugaces nés de l’observation, à travers la fenêtre de son bureau, d’un jardin bien ordinaire. Et le lecteur comprendra vite pourquoi a été placée en exergue de ce singulier journal intemporel la parole de Xavier Grall : Il me suffit d’un jardin pour assister à la genèse du monde.
« Je suis né à Bégard en 1946, après une maîtrise de lettres, certifié lettres modernes, j’ai été professeur de lettres au lycée Lamennais, à Papeete, puis au lycée Notre-Dame à Guingamp. J’ai été chargé de cours à l’Université catholique de l’Ouest, membre du Centre international des études sur la Renaissance et de l’Institut culturel de Bretagne. Durant ma carrière, j’ai réservé une large place à l’écriture personnelle.
Un abondant travail de recherche et d’analyse m’a permis de publier de nombreux articles et ouvrages historiques, portant sur la Renaissance. Mes goûts littéraires pour les écritures du for privé m’ont conduit aussi à pratiquer une écriture plus personnelle, mémorielle et attachée à mes souvenirs de jeunesse dans Le miroir aux narcisses, en 1998.
Cette écriture est-elle différente dans Le jardin si ordinaire ?
Dans ce livre, mon écriture est plus intime et introspective. Mon discours intérieur se double d’une véritable gageure : saisir chaque jour d’une année, moins les événements de ma vie que les instantanés et les sentiments fugaces nés de l’observation, à travers la fenêtre de mon bureau, devant du jardin de ma maison de Lanvollon. Ce sont 365 préludes et fugues en forme de journal intime et intemporel, une année de textes à lire. »
Source : Le Télégramme